Oppidum de Tronoën
Oppidum de Tronöen Site archéologique de Tronoën en Saint-Jean-Trolimon Oppidum de Tronoan | |||||
Urne cinéraire en céramique[2][1]. | |||||
Localisation | |||||
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Pays | France | ||||
Arrondissement | Quimper | ||||
Canton | Plonéour-Lanvern | ||||
Département | Finistère | ||||
Région | Bretagne | ||||
Site archéologique | Oppidum | ||||
Coordonnées | 47° 52′ nord, 4° 17′ ouest | ||||
Altitude | 56 m | ||||
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Europe
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Histoire | |||||
Période hallstattienne | |||||
Période laténienne | |||||
Période gallo-romaine | |||||
Haut Moyen Âge | |||||
Sources | |||||
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L'oppidum de Tronoën (également appelé Oppidum de Tronoan) est un complexe urbain protohistorique armoricain. Ses vestiges ont été dégagés à la fin du XIXe siècle par l'archéologue Paul du Chatellier (1833-1911)[Note 1],[8]. Le site est localisé dans la commune de Saint-Jean-Trolimon, dans le département du Finistère, en Bretagne. Il connaît une occupation celtique dès le 1er Âge du fer, au VIIe siècle av. J.-C. (époque hallstattienne) et observe une continuité d'utilisation tout au long du 2e Âge du fer (époque laténienne)[8]. L'installation d'un nouveau site, en lieu et place de ces premières structures urbaines, voit le jour à l'époque gallo-romaine. Cependant, la seconde fondation ne se pérennise pas et subit finalement un abandon à partir du IVe siècle.
Le site de Tronoën appartient au territoire (la civitas ou cité) de la tribu gauloise des Osismes.
Sur le site de l'oppidum armoricain, des pièces de monnaie gallo-romaines ont été mises en évidence. Il s'agit généralement de statères confectionnées en bronze[9]. D'autres types d'éléments numismatiques, également découverts à proximité ou dans l'enceinte de l'oppidum, ont été identifiés et répertoriés. D'époque plus ancienne, ces pièces de monnaie sont de fabrication typiquement osisme[9]. En , une monnaie attribuée aux Parisii est signalé lors d'un second chantier de recherches conduit sous le patronage de Paul du Chatellier[10]. Enfin, plus rares, quelques occurrences de monnaies de type « Jersey » et quelques-unes de frappe pictonne ont été mises en évidence lors de fouilles préventives. La présence de ces pièces au cœur du site armoricain suggère, d'après le spécialiste numismate Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu (1905-1995), des contacts commerciaux avec les peuples pictons de la façade atlantique et d'autres tribus celtes d'outre-Manche[9].
Enfin, concernant l'existence du temple de Tronöen, et ainsi que le mettent en perspective Jean-Louis Brunaux et Patrice Arcellin, pour cette époque et pour cette zone de la Gaule Chevelue :
« Aujourd'hui, l'Armorique et ses marges se caractérisent à la fois par la relative rareté des ensembles cultuels collectifs (ceux des Sept-Perthuis à Saint-Malo et de Tronoën à Saint-Jean-Trolimon, ou encore de Nalliers et Aubigné-Racan, étant pour l'heure exceptionnels) et, parallèlement, par la multiplicité des manifestations de rituels domestiques ou à échelle locale, privés ou publics, et de vestiges commémoratifs révélés au sein de contextes domestiques ou funéraires. »
— Jean-Louis Brunaux Patrice Arcellin et al., , Cultes et sanctuaires en France à l'âge du Fer, p. 77[11].
Contexte géographique et topographique
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Carte figurant l'emplacement de l'Oppidum de Tronöen, à Saint-Jean-Trolimon
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Id.
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Le territoire des Osismoi.
Découverte et fouilles
[edit | edit source]Vers la fin du XIXe siècle, à Saint-Jean-Trolimon, et consécutif d'un signalement, effectué par les autorités locales finistériennes, de structures antiques non-identifiées, l'archéologue breton Paul du Chatellier (1833-1911) entreprend un voyage de reconnaissance afin de réaliser des investigations de terrain[12]. Sur place, dans les soubassements de murs d'un habitat domestique protohistoriques, le membre honoraire de la Société archéologique du Finistère parvient à exhumer un linteau (architecture) de pierre fragmenté sur lequel est inscrit une épigraphie à destination votive[12]. Après une étude visant à les transcrire, caractères de cette inscription, dont la hauteur varie de 6 à 7 centimètres, se révèlent appartenir à un alphabet celtophone ; plus précisément celui des Osismoi[Note 2], une tribu gauloise installée sur un territoire englobant l'actuel département du Finistère et de ses marges orientales[12].
Histoire
[edit | edit source]Période hallstattienne
[edit | edit source]Période laténienne
[edit | edit source]Un sanctuaire, dont la destination confirme une tradition de culte guerrier remontant à la période hallstatienne, est fondé au début de l'époque de La Tène « A1 »[13],[14]. Ce lieu de culte se manifeste notamment par la présence d'un gisement de restes osseux, d'origine animale, mélangés à des tessons de céramiques et d'armes[Note 3], certaines dans leur état complet, d'autres retrouvées sous forme fragmentée[13].Interprétation abusive ? L'analyse taxonomique de ces dépôts rituels a mis en évidence, pour partie, des ossements d'équidés[13]. Ce type de rituel, sous la forme d'offrande et associé à un symbolisme religieux fort, est attesté dans l'ensemble de l'« écorégion » armoricaine[Note 4][13]. Ce genre de déposition est également présente au sein d'autres ensembles territoriaux gaulois, tels que le Nord de la Gaule Chevelue et la belgique et se trouve régulièrement accompagné de l'existence d'un sanctuaire, tel que celui de sanctuaire celtique de Gournay-sur-Aronde, ou encore celui de Corent[Note 5][13].
Période gallo-romaine
[edit | edit source]La statuette en bonze d'Osiris, ci-dessous, a été retrouvée dans les réserves du Musée des Antiquités Nationales de Saint-Germain-en-Laye, avec la seule mention d'une provenance de Tronoën. Elle fut publiée en 1969 par Louis Richard, son redécouvreur, aux Annales de Bretagne. Elle provient de la Collection Paul du Chatellier, entrée au MAN en 1924[15]. [lire en ligne]
Les monnaies
[edit | edit source]La nécropole de Kerveltré
[edit | edit source]Une nécropole, fondée au Hallstatt « final » (« D »), est mise en évidence à proximité de l'oppidum de Tronöen. Le cimetière protohistorique de Kerveltré se développe sur un terrain actuellement occupé un champ, le « Parc-an-Menhir ». Ce lieu-dit doit son nom aux nombreuses élévations de menhirs qui occupe son aire de déploiement. Le terrain, en forme de monticule, est doté de cinq menhirs, dont quatre ont été affaissés et partiellement détruits. Certains blocs issus de ces mégalithes ont été réaffectés au sein des murs d'anciennes bâtisses situées aux alentours du site funéraire. L'unique menhir encore intact possède, sur l'une de ses faces, six incisions en forme de cupules. En outre, les sépultures celtes de la nécropole de Kerveltré ont livré 21 urnes cinéraires. Ces artefact à destination funéraire ont été, lors de leurs découvertes aux environs du milieu du XIXe siècle, exhumés par le propriétaire des lieux lui-même. Après les avoir brisé, ce dernier y découvre des os fossilisés et des cendres humains. Des bracelets confectionnés en bronze accompagnent les restes des défunts. Des fouilles archéologiques, opérées en permirent de retrouver à nouveau deux autres objets cinéraires[16].
-
Urnes [Note 6].
-
Id.
Le sanctuaire de Vénus anadyomène
[edit | edit source]Sur l'actuel emplacement de l'Église Notre-Dame de Tronoën, chapelle bâtie au cours du XVe siècle à Saint-Jean-Trolimon, un sanctuaire protohistorique a été signalé lors d'un programme d'explorations archéologiques. Cet édifice à destination religieuse est dédié au culte de Vénus « anadyomène »[17][source insuffisante]. Le temple, d'époque laténienne puis réemployé au cours de la romanisation de l'Armorique, a été partiellement dégagé. Parmi les rares vestiges du sanctuaire osismoi qui ont été mis au jour, les archéologues ont notamment découvert une sculpture à vocation religieuse. Cet artéfact, dont certaines parties sont manquantes, représentent un buste de « Vénus anadyomène ». L'un des côtés de l'objet a révélé une inscription de type épigraphique. Les termes de cette inscription,
« BIOV[Note 8] AV. »
— Joël Lecordec, , p. 62[18].
indiquent, selon les archéologues et épigraphistes, le nom de l'artisan-sculpteur[18]. Un autre pièce sculptée, également fragmentée, est découverte en lieu et place de l'ancien site cultuel de Tronoën. Ce second artefact[Note 9], de type zoomorphe, apparaît sous la forme d'un cheval étêté[18]. Enfin une troisième occurrence votive a été mise en évidence lors de fouilles opérées au sein des ruines du temple celto-romain de Saint-Jean-Trolimon. Cette dernière figure l'arrière-train d'un mouton[18].
Mise en valeur du site
[edit | edit source]Notes et références
[edit | edit source]Notes
[edit | edit source]- À cet égard, le préhistorien français a publié plusieurs articles et ouvrages évoquant les découvertes et fouilles opérées sur le site archéologique finistérien[7],[3].
- Hormis les deux milliaires identifiés et répertoriés comme tel, la documentation archéologique concernant l'épigraphie le peuple des Osismes ne fait état, à ce jour, d'aucun autre témoignage de ce type[12].
- Des sondages effectués sur ce gisement cultuel ont permis de délivré un exemplaire d'une hache à douille[14].
- Autrement dit un territoire qui recouvre l'actuelle région de Bretagne, des Pays de la Loire et de la Normandie occidentale[13].
- Temple celtique situé dans un oppidum appartenant à la civitates des Arvernes, dans l'« écorégion » de la « Gaule dite des montagnes »[13].
- Objets archéologiques trouvés dans la nécropole gauloise de Kerviltré (dessins de Paul du Chatellier) 1.
- Actuellement conservée au Musée de la préhistoire finistérienne de Penmarc'h.
- ou
« BIVC »
— [18].
. - Lequel est issu de la collection de Paul du Chatellier et est actuellement conserver au Musée de la Préhistoire de Carnac dans le Finistère[18].
Références
[edit | edit source]- « Musée de la Préhistoire Finistérienne : Voyage à travers la Préhistoire - Penmarch, Finistère », sur Tourisme Bretagne, (consulté le ).
- Cet artéfact, de confection osismienne, est actuellement exposé au Musée de la Préhistoire finistérienne, à Penmarc'h, dans le Finistère[1].
- Paul Du Chatellier, Oppidum de Tronoen en Saint-Jean-Trolimon (Finistère), sn, , 15 p. (lire en ligne).
- Armand Viré, « Commission d'étude des Enceintes préhistoriques et Fortifications anhistoriques », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. T. 11, no 3, , p. 142-160 (lire en ligne, consulté le ).
- Anne Villard-le Tiec, Anne-Françoise Cherel et Elven le Goff, « Aspects de l'art celtique en Bretagne au Ve siècle avant J.-C.. », dans Villard-le Tiec Anne, Cherel Anne-Françoise et le Goff Elven, Décors, images et signes de l’âge du Fer européen, XXVIe colloque de l’AFEAF, thème spécialisé., vol. 24, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), p. 221-236.
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- Paul du Chatellier, De la destination des menhirs : Oppidum de Tronoën, 1882. Extrait de la revue Matériaux pour l'histoire primitive de l'homme, 21e année, 3e série, t. IV, .
- P.-R. Giot, « Armoricains et Bretons : Perspectives nouvelles sur les Bretons. », Annales de Bretagne, vol. Tome 80, no 1, , p. 133 (DOI 10.3406/abpo.1973.2678, lire en ligne, consulté le )
- Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, « Notices de numismatique celtique. », Annales de Bretagne, vol. Tome 62, no 1, , p. 171 à 176 (DOI 10.3406/abpo.1955.1978, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, « II. Monnayage armoricain et monnayage belge », Annales de Bretagne, vol. Tome 59, no 2, , p. 234 et 235 (DOI 10.3406/abpo.1952.4387, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Philippe Bouvet, Marie-Yvane Daire, Jean-Paul Le Bihan, Olivier Nillesse, Anne Villard-Le Tiec, Michael Batt, Catherine Bizien-Jaglin, Jean-Louis Brunaux (dir.) et Patrice Arcellin (dir.), « La France de l'Ouest (Bretagne, Pays de la Loire). », dans Bouvet Jean-Philippe, Daire Marie-Yvane, Le Bihan Jean-Paul, Nillesse Olivier, Villard-Le Tiec Anne, Batt Michael, Bizien-Jaglin Catherine, Patrice Arcellin (dir.) et Jean-Louis Brunaux (dir.), Gallia, vol. tome 60, (DOI 10.3406/galia.2003.3144, lire en ligne), p. 77 et 75-105.
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- Richard Louis. Statuette en bronze d'Osiris provenant de Tronoën (Finistère). In: Annales de Bretagne. Tome 76, numéro 1, 1969. pp. 263-273
- Paul du Chatellier, « Exploration du cimetière gaulois de Kerviltré en Saint-Jean-Trolimon », Bulletins et mémoires, Société d'émulation des Côtes-du-Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Catherine Grive, « Saint-Jean-Trolimon : Chapelle Notre-Dame de Tronoën », dans Catherine Grive, Emouvantes chapelles de France, Petit futé, , 175 p. (lire en ligne), p. 38.
- Joël Lecornec, « Le complexe mégalithique du Petit-Mont à Arzon (Morbihan). », Revue archéologique de l'ouest, vol. tome 2, , p. 62 (DOI 10.3406/rao.1985.870, lire en ligne, consulté le ).
Bibliographie
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- Stephan Fichtl, Les peuples gaulois : IIIe – Ier siècle av. J.-C., Paris, Errance, , 2e éd. (1re éd. 2004), 255 p. (ISBN 978-2-87772-502-6)
- Jenny Kaurin (dir.), Stéphane Marion (dir.) et Gérard Bataille (dir.), Décrire, analyser, interpréter les pratiques de dépôts de l’âge du Fer : Actes de la table ronde de Bibracte, Centre archéologique européen (Glux-en-Glenne, 2-3 février 2012)., vol. 16, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen, coll. « Bibracte », , 192 p. (ISBN 978-2-909668-85-7).
- Venceslas Kruta, Les Celtes, histoire et dictionnaire : Des origines à la romanisation et au christianisme, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1080 p. (ISBN 978-2-221-05690-5).
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : Description linguistique, commentaire d'inscription choisies., Paris, Érrance, coll. « Hespérides », , 248 p. (ISBN 2-87772-224-4)
- Nicolas Laubry, « Aspects de la romanisation en Gaule et en Germanie : les monuments et les inscriptions funéraires sous le Haut Empire », dans Bernadette Cabouret-Laurioux, Jean-Pierre Guilhembet et Yves Roman (directeurs d'ouvrage), Rome et l’Occident : IIe s. av. J.-C. au IIe s. apr. J.-C., Presses Universitaires du Mirail, (ISBN 978-2-8107-0052-3, lire en ligne), p. 281 à 305.
- Thierry Lejars, « Lieux de cultes et pratiques votives en Gaule à La Tène ancienne : Clermont », dans Thierry Lejars, Christine MENNESSIER-JOUANNET (dir.), Anne-Marie ADAM (dir.) et Pierre-Yves MILCENT (dir.), La Gaule dans son contexte européen aux IVe et IIIe siècle av. n. è : Actes du XXVIIe colloque international de l’Association Française pour l’Etude de l’Âge du Fer (Clermont-Ferrand, 29 mai-1er juin 2003)- Thème spécialisé, Clermont-Ferrand, MONOGRAPHIES D’ARCHÉOLOGIE MÉDITERRANÉENNE, (lire en ligne), p. 273 à 280.
- Patrick Maguer, « Les enceintes fortifiées de l'Age du Fer dans le Finistère. », Revue archéologique de l'ouest, vol. tome 13, , p. 103-121 (DOI 10.3406/rao.1996.1043, lire en ligne, consulté le ).
- Michel Molin, « Circulation, transports et déplacements en Europe occidentale (IIe s. av. J.-C – IIe s. apr. J.-C.) : données indigènes et apports romains », dans Bernadette Cabouret-Laurioux, Jean-Pierre Guilhembet et Yves Roman (directeurs d'ouvrage), Rome et l’Occident : IIe s. av. J.-C. au IIe s. apr. J.-C., Presses Universitaires du Mirail, (ISBN 978-2-8107-0052-3, lire en ligne), p. 205 à 221.
- Stéphane Verger, « Société, politique et religion en Gaule avant la Conquête : Éléments pour une étude anthropologique », dans Bernadette Cabouret-Laurioux, Jean-Pierre Guilhembet et Yves Roman (directeurs d'ouvrage), Rome et l’Occident : IIe s. av. J.-C. au IIe s. apr. J.-C., Presses Universitaires du Mirail, (ISBN 978-2-8107-0052-3, lire en ligne), p. 61 à 82.
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- Stephan Fichtl, La ville celtique, les oppida de 150 avant J.-C. à 15 après J.-C., Paris, ERRANCE, 2005 (édition augmentée), 267 p. (ISBN 2-87772-307-0)
- Emmanuel Arbabe, La politique des Gaulois : Vie politique et institutions en Gaule chevelue (IIe siècle avant notre ère-70), Éditions de La Sorbonne, coll. « Histoire ancienne et médiévale », , 440 p. (ISBN 979-10-351-0042-1, présentation en ligne).
- Anne Villard-le Tiec, Anne-Françoise Cherel et Elven le Goff, « Aspects de l'art celtique en Bretagne au Ve siècle avant J.-C. », dans Villard-le Tiec Anne, Cherel Anne-Françoise et le Goff Elven, Décors, images et signes de l’âge du Fer européen, XXVIe colloque de l’AFEAF, thème spécialisé., vol. 24, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), p. 221-236.
- Louis Richard, « Statuette en bronze d'Osiris provenant de Tronoën (Finistère). », Annales de Bretagne, vol. Tome 76, no 1, , p. 263-273 (DOI 10.3406/abpo.1969.2517, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Philippe Bouvet et al., « La France de l'Ouest (Bretagne, Pays de la Loire) », Gallia, t. 60, , p. 75-105 (lire en ligne)
- Jean-François Villard, « Un habitat médiéval des Xe – XIIe siècles à Tronoën en Saint-Jean-Trolimon, Finistère : Document final de synthèse de diagnostic archéologique », Publications de l'Inrap, Rennes, Inrap - Centre archéologique du Finistère, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
[edit | edit source]Articles connexes
[edit | edit source]- Armorique
- Osismes
- Musée de la Préhistoire finistérienne
- Paul du Chatellier
- Nécropole de Kerveltré
- Pays Bigouden
Liens externes
[edit | edit source]- « Site de Tronöen », sur Tourisme à Saint-Jean-Trolimon, (consulté le ).
- « Histoire de Saint-Jean-Trolimon », sur Saint-Jean-Trolimon, (consulté le ).